Usine d’huile d’olive par système de presse à pression hydraulique ou broyage à trois rouleaux ou empièchement.
L’usine d’huile d’olive de l’image, modèle de celles installées entre les années 1940 à 1970, en plus des composants fondamentaux déjà indiqués, a été modernisée avec un chargeur automatique ou un doseur de pâtes sur les « couches ».
En complément auxiliaire à la broyage de l’olive, apparaissent en plus du mélangeur vertical, deux extracteurs cylindriques rotatifs par lesquels la pâte d’olive était passée afin d’obtenir une huile d’olive sans pression et sans filtration, à travers les « capachos », composant qui, dans le processus de pressage, laissait un certain « goût » ou saveur dans l’huile d’olive produite si le revêtement n’était pas parfaitement propre.
Le moût de presse (alpechín + huile) était conduit aux saorisations de décantation où habituellement une batterie de puits ou des piscines de solerie ou de carreaux vitrifiés, faisait séparer l’huile d’olive de l’alpèchín par effet de gravité ou de décantation naturelle.
Ce type de presse hydraulique était largement utilisé dans les moulins à huile d’olive en Espagne entre 1940 et 1970.
Source: Pieralisi Espagne S.L